Electronic cigarettes

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En choisissant la cigarette électronique comme substitut nicotinique, vous vous offrez les meilleures chances de réussir votre sevrage tabagique. Ce dispositif électronique léger et portatif assure notamment un accès à une vapeur nicotinée similaire à la fumée de tabac en tout temps. Cependant, l’utilisation d’une e-cig ne suffit pas comme garantie pour réussir une transition, car à travers la multitude de modèles et de catégories présentes sur le marché, il est facile de tomber sur le mauvais matériel. Voici donc votre guide pour trouver la perle rare qui vous détachera de votre addiction au tabac !

Trouver le bon format

Une cigarette électronique peut être miniature ou dense suivant ses composantes électroniques. Dans la majorité des cas, les appareils compacts sont composés de petites batteries, d’un système électronique basique et assurent une bonne ergonomie sans plus. Les gros kits (Box + clearomiseur) sont pour leur part destinés à des expérimentations et divertissements approfondis. Ils sont imposants, mais proposent plus de réglages pour exploiter tous les types de e-liquides.

Que vous soyez vapoteur débutant ou avancé, le choix d’un format compact, moyen ou dense doit être motivé par l’efficacité. Ainsi, le premier objectif est d’assurer une bonne autonomie de vape via une batterie optimisée pour le type de rendu.

Actuellement, on retrouve :

- Les batteries intégrées, qui sont plus petites et moins encombrantes tout en offrant une grande autonomie. Elles sont exploitées par les pods, les kits starters AIO (All in one) et certaines box électroniques performantes.

- Les accus. Ce sont des batteries extractibles vendues en série> (sous forme de pile cigarette ou pile plate). Les accus sont présents dans les kits de grande taille destinés à de grandes performances. Leurs caractéristiques remplaçables assurent une meilleure longévité de l’appareil.

Trouver la valeur de la résistance idéale

La cigarette électronique met en relation la batterie et la résistance pour créer de la vapeur. Cette relation électrique est régulée (avec ou sans chipset) pour offrir la puissance de chauffe nécessaire, et dans une large mesure libérer les goûts et les sensations.

En théorie, le choix de la valeur de la résistance est assujetti à la capacité de décharge de la batterie. Elle ne doit être ni trop haute (empêche le courant de circuler), ni trop basse (surexploite la batterie).

Pour trouver la bonne résistance, référez-vous aux notices de votre matériel afin de déceler la plage de puissance correspondante à votre cigarette électronique. Ainsi, si votre e-cig annonce une puissance de 2-40W ; 10-110W, ou 10-200W par exemple, installez une résistance qui affichera une plage de puissance correspondante.

Si vous débutez dans la vape, vous devez connaître les impacts d’une basse ou d’une haute résistance sur le rendu. Dans le premier cas, vous obtiendrez plus de puissance, plus d’agressivité et donc plus de vapeur et de hit (sensation de picotement dans la gorge). Dans le second cas, vous obtiendrez un rendu plus doux et moins dense.

Trouver la capacité de liquide idéal

Avant de choisir un modèle de cigarette électronique, pensez à votre consommation de e-liquide. Cette substance contenant les arômes et la nicotine se vaporise plus ou moins rapidement suivant la puissance de votre appareil.

L’idéal serait de trouver un réservoir conséquent qui prévient les remplissages répétitifs et chronophages par. Notez que dans le marché actuel, la capacité des clearomiseurs peut atteindre jusqu’à 8 ml (voire plus) de e-liquide.

Si vous êtes un amateur de grosses puissances et de grosses vapeurs (obtenues avec des résistances basses et des batteries hautes performances), adoptez un réservoir qui saura combler cette surconsommation de liquide. Un gros réservoir est avantageux mais il enregistre des inconvénients. Dans un premier temps, sa fabrication en verre et sa taille imposante l’exposent à des accidents. Dans un second temps, vous ne pourrez changer de e-liquides qu’une fois cette grosse quantité de jus vaporisée.

En choisissant la cigarette électronique comme substitut nicotinique, vous vous offrez les meilleures chances de réussir votre sevrage tabagique. Ce dispositif électronique léger et portatif assure notamment un accès à une vapeur nicotinée similaire à la fumée de tabac en tout temps. Cependant, l’utilisation d’une e-cig ne suffit pas comme garantie pour réussir une transition, car à travers la multitude de modèles et de catégories présentes sur le marché, il est facile de tomber sur le mauvais matériel. Voici donc votre guide pour trouver la perle rare qui vous détachera de votre addiction au tabac !

Trouver le bon format

Une cigarette électronique peut être de petite taille ou imposante suivant ses caractéristiques et sa batterie. Dans la majorité des cas, les appareils compacts sont composés de petites batteries, d’un système électronique basique et assurent une bonne ergonomie sans plus. Les gros kits (Box + clearomiseur) offrent bien souvent une autonomie plus importante et une puissance plus élevée. Ils sont imposants, mais proposent plus de réglages pour exploiter tous les types de e-liquides.

Que vous soyez vapoteur débutant ou avancé, le choix d’un format compact, moyen ou imposant doit être motivé par l’efficacité. Ainsi, le premier objectif est d’assurer une bonne autonomie de vape via une batterie optimisée suivant votre utilisation.

Actuellement, on retrouve :

- Les batteries intégrées, qui sont plus petites et moins encombrantes tout en offrant une grande autonomie. Elles sont exploitées par les pods, les kits starters AIO (All in one) et certaines box électroniques performantes. Elles sont très souvent destinées aux débutants.

- Les accus. Ce sont des batteries amovibles sous forme de pile vendues en série. Les accus sont présents dans les kits de grande taille destinés à de grandes performances. Les batteries amovibles permettent une meilleure longévité de l’appareil et assurent un côté plus pratique quand votre batterie approche des 0%, il suffira simplement de changer l'accu en question !

Trouver la valeur de la résistance idéale

La cigarette électronique met en relation la batterie et la résistance pour créer de la vapeur. Cette relation électrique est régulée (avec ou sans chipset) pour offrir la puissance de chauffe nécessaire, et dans une large mesure libérer les goûts et les sensations.

En théorie, le choix de la valeur de la résistance est assujetti à la capacité de décharge de la batterie. Elle ne doit être ni trop haute (empêche le courant de circuler), ni trop basse (surexploite la batterie).

Pour trouver la bonne résistance, référez-vous aux notices de votre matériel afin de déceler la plage de puissance correspondante à votre cigarette électronique. Ainsi, si votre e-cig annonce une puissance de 2-40W ; 10-110W, ou 10-200W par exemple, installez une résistance qui affichera une plage de puissance correspondante.

Si vous débutez dans la vape, vous devez connaître les impacts d’une basse ou d’une haute résistance sur le rendu. Dans le premier cas, vous obtiendrez plus de puissance, plus d’agressivité et donc plus de vapeur. Dans le second cas, vous obtiendrez un rendu plus doux et moins dense proche d'une cigarette classique.

Trouver la capacité de liquide idéal

Avant de choisir un modèle de cigarette électronique, pensez à votre consommation de e-liquide. Cette substance contenant les arômes et la nicotine se vaporise plus ou moins rapidement suivant la puissance de votre appareil.

L’idéal serait de trouver un réservoir conséquent qui prévient les remplissages répétitifs et chronophages. Notez que dans le marché actuel, la capacité des clearomiseurs peut atteindre jusqu’à 8 ml (voire plus) de e-liquide.

Si vous êtes un amateur de grosses puissances et de grosses vapeurs (obtenues avec des résistances basses et des batteries hautes performances), optez pour un clearomiseur ou pod doté d'un réservoir qui saura combler cette surconsommation de liquide. Un gros réservoir est avantageux mais il enregistre des inconvénients. Dans un premier temps, sa fabrication en verre et sa taille imposante l’exposent à des accidents. Dans un second temps, vous éviterez de remplir votre réservoir plusieurs fois par jour.

Dans le jargon des vapoteurs, on entend souvent parler des techniques d’inhalation dites indirectes et directes ou DL et MTL pour les connaisseurs. Ces deux méthodes de tirage, qui ont chacune leur propre vertu, impactent notamment sur les sensations, les saveurs, et l’esthétique générale de la vapeur. Pour les débutants, ce n’est pas toujours facile de distinguer les deux, et encore moins les appliquer ! Voici donc quelques explications sur le MTL et le DL, leur cadre d’exploitation et leur différence.

MTL et DL, une question d’aspiration

Rentrer dans le monde de la vape ne se réduit pas à transposer ses réflexes de fumeurs pour obtenir une vapeur similaire à la fumée et une dose de nicotine. Il s’agit d’embrasser un nouvel univers où le choix des saveurs, le dosage des substances, le paramétrage des valeurs électroniques et la maîtrise de nouvelles techniques propres à la cigarette électronique font partie du jeu.

Parmi ces nouvelles techniques à apprivoiser, les méthodes d’inhalation ou d’aspiration sont primordiales dans le sens où elles permettent d’accentuer les goûts, les ressentis et la structure de la vapeur. Généralement, on distingue deux types d’inhalation, à savoir l’inhalation indirecte MTL, celle qui est appliquée par tous les anciens fumeurs, et l’inhalation directe DL, qui consiste à absorber beaucoup plus de vapeur.

Inhalation indirecte : Pour qui ? Pourquoi ?

L’inhalation indirecte ou MTL (signifiant Mouth To Lung ou bouche à poumons) est une technique d’aspiration « naturelle » connue des fumeurs. Il consiste à tirer sur l’embout buccal de la cigarette électronique, à stocker la vapeur dans la bouche avant de l’inspirer dans les poumons.

Il s’adresse donc aux débutants en quête d’une expérience similaire à la cigarette traditionnelle traduite par une aspiration en deux temps.

Le MTL est préconisé lorsque le vapoteur cherche avant tout à soutirer le maximum de saveurs dans sa bouche et sentir le picotement dans la gorge (qu’on appelle hit). Le processus d’aspiration en deux temps optimise la concentration de la vapeur (et des arômes) dans la bouche et la perception du gratouillement provoqué par la nicotine. En outre, il ne sollicite pas de grande puissance et de e-liquide pour être appliqué.

Inhalation directe : Pour qui ? Pourquoi ?

L’inhalation directe ou DL (signifiant Direct to Lung ou directement aux poumons) est une méthode d’aspiration plus complexe destinée aux vapoteurs expérimentés. Le processus consiste à appliquer une inspiration continue depuis l’embout buccal jusqu’aux poumons de sorte à accumuler un maximum de vapeur.

L’intérêt du DL est avant tout esthétique puisqu’il offre l’occasion de recracher de véritables déferlantes de vapeur. Ainsi, c’est à partir de cette technique que les « cloud-chasers » et autres pros effectuent leurs « Tricks »… bref, les ronds, les cordes, etc…

Par la suite, le DL permet d’obtenir une vapeur dense et froide puisqu’il nécessite un gros débit d’air tiré depuis l’extérieur de la cigarette électronique par le biais des airflows (petits trous d’aération alimentant la chambre de chauffe en oxygène).

Quel setup pour l’inhalation indirecte ?

La majorité des e-cigs pour débutants sont préconfigurées pour une inhalation indirecte. La raison est que cette technique ne requiert pas beaucoup de puissance ni de résistances spécifiques. En d’autres termes, une inhalation directe est applicable dès qu’une cigarette électronique propose une puissance faible, une résistance élevée (plus de 0,5 ohm) et un drip-tip fin et étriqué limitant le flux de vapeur circulant depuis la chambre de chauffe au drip-tip.

Quel setup pour l’inhalation directe ?

L’inhalation directe demande beaucoup de puissance et d’air… aussi, les cigarettes électroniques destinées à cette exploitation sont pourvues de caractéristiques techniques avancées. Dans un premier temps, la batterie doit proposer une autonomie et une capacité de décharge importante pour booster le wattage, et dans une large mesure la chauffe. Une puissance supérieure à 50W (minimum) est demandée pour créer des nuages assez denses à aspirer directement. Parallèlement, la résistance de l’e-cig proposant le DL est très permissive, c’est-à-dire qu’il doit laisser le flux d’électrons issus de la batterie s’exprimer pleinement pour créer une chaleur agressive et rapide face au e-liquide. Enfin, le DL consomme beaucoup d’oxygène et requiert ainsi un réglage d’airflow large et ouvert, sans quoi, une brûlure de la mèche (coton contenu dans la résistance) peut survenir à tout instant !

Saviez-vous qu’une cigarette électronique pouvait coûter plus qu’une villa de luxe ? En 2013, la « Shisha Sticks Sofia » a été estimée à 645 000 euros pour son revêtement en diamants, en verre de l’île de Murano et en Or notamment! Oui, une cigarette électronique peut faire chauffer une carte de crédit dans certains cas exceptionnels, mais rassurez-vous, on est loin d’atteindre les 1000 euros pour les plus chères.

Si vous êtes à la recherche de votre toute première cigarette électronique, sachez qu’un budget minime comme colossal peut être investi dans un matériel suivant les besoins attendus en termes de notoriété (marque), de qualité (matériaux et constructions), de performances (autonomie et paramètres électroniques) et d’efficacité (qualité de vapeur).

Sur le marché actuel, vous pouvez ainsi vous procurer une e-cig avec des prétentions très dérisoires (sans marques, matériaux fragiles, etc.) dès les 12 euros ! Pour un débutant, prévoyez en moyenne un budget de 12 à 50 euros pour obtenir un équilibre qualité et performance satisfaisant tout en assurant une bonne marge d’évolution. Au-delà de cette fourchette, vous accéderez à des kits beaucoup plus sophistiqués, mais attention aux consommations accessoires telles que les pièces usables, les e-liquides, etc… qui risquent de faire grimper la facture !

La multitude des modèles, les pièces usables, la consommation en e-liquide et l’entretien général d’une cigarette électronique sont à la base des réticences financières des fumeurs en quête d’une alternative nicotinique. L’investissement dans une e-cig peut sembler colossal par rapport à la cigarette traditionnelle lorsqu’on survole tous les paramètres requis par le dispositif pour une expérience satisfaisante. Cependant, une étude approfondie des besoins suivie d’une comparaison des prix finaux pourrait faire pencher la balance du côté de la cigarette électronique contrairement à ce que la majorité des gens pensent. Voici les détails !

Un investissement qui répond aux besoins

Dans sa forme la plus pure, une cigarette électronique est composée d’une batterie, d’un atomiseur/clearomiseur contenant une résistance, d’un réservoir de e-liquide et d’un embout buccal. Les toutes premières versions de e-cigs (dits vape pen) lancées sur le marché proposaient notamment cet assemblage avec une fourchette de prix de 10 à 15 euros.

Aujourd’hui, la technologie de la cigarette électronique a nettement évolué et offre des appareils plus performants capables de donner plus d’autonomie de batterie (jusqu’à plusieurs jours pour certains), plus de puissance de chauffe, plus de capacité de stockage de jus, et plus de vapeur. Ainsi, il est tout à fait possible de retrouver des modèles de plus de 200 euros, mais aussi des versions plus allégées de 30 euros !

Vous l’aurez compris, l’investissement aveugle dans une cigarette électronique peut coûter très cher lorsqu’on ne définit pas les besoins et les attentes envers l’appareil en amont. Si vous êtes nouveau vapoteur, des catégories baptisées Kits Starters ou Pods qui ne nécessitent aucune expérience antérieure conviendront parfaitement à vos besoins d’ex-fumeur sans coûter trop cher.

Le budget de fonctionnement d’une vapoteuse est moins élevé

Comme mentionné en amont, le prix de la cigarette électronique peut varier d’une dizaine à une centaine d’euros selon vos besoins. Ceci dit, l’e-cig devient rentable dès les premières semaines de par le prix très accessible des e-liquides par rapport au tabac.

En effet, la politique européenne sur le tabac est de plus en plus rigide de sorte à pénaliser les fumeurs. En 2020, le prix du paquet de 20 cigarettes en France a atteint la barre des 10 euros tandis que certaines variétés comme les mentholées ont été prohibées du commerce. Un gros fumeur (plus de 20 cigarettes par jour) culminera donc à 300 euros mensuel.

Pour sa part, le prix des flacons de e-liquides s'est stabilisé durant les cinq dernières années avec un coût moyen de 5 euros les 10 ml… le tout pour un taux de nicotine et des saveurs configurables. Considérons qu’un e-liquide de 10ml dosé à 18mg/ml équivaut à 15 cigarettes standards environ (une cigarette recèle entre 12 et 13 mg de nicotine), la consommation totale de e-liquide pour un même taux de nicotine que la cigarette tournerait aux environs des 400 ml mensuel, soit 200 euros (40 flacons de 10mL x 5 euros) !

Et le prix des consommables dans tout ça ?

En tant qu’outil électronique doté de pièces variées, la cigarette électronique s’expose à des usures. Dans cette perspective, le remplacement comme l’entretien de certaines composantes doit rentrer dans le budget du vapoteur.

Parmi elles, on recense :

La batterie : La batterie ou accumulateur est une sorte de pile rechargeable amovible ou extractible installée dans le corps de la cigarette électronique. Elle est responsable de l’alimentation du circuit en énergie et de la chauffe du e-liquide dans une large mesure. Généralement, une batterie peut durer plusieurs années avant de perdre de son autonomie suivant le nombre de cycle de charge prévu par les constructeurs. Un cycle correspond notamment à une décharge complète suivie d’une recharge complète (100% à 0% et 0% à 100%). En d’autres termes, l’investissement dans une batterie impacte peu sur le budget du vapoteur.

La résistance : La résistance ou Coil est la petite pièce métallique pourvue d’un fil résistif et d’une mèche destinée à emmagasiner le flux électrique issu de la batterie pour créer la chaleur. Il s’agit de l’élément le plus usable d’une e-cig, aussi son remplacement devrait s’effectuer tous les 7 à 10 jours (parfois plus). Le prix d’une résistance varie de 1 à 4 euros l’unité, et son budget mensuel devrait atteindre les 20 euros maximum.

Les joints et les réservoirs : Des joints toriques et autres accessoires assurent l’étanchéité de vos cigarettes électroniques. Ils sont placés au niveau de l’atomiseur et du clearomiseur (élément stockant le e-liquide et la résistance). Bien heureusement, ces joints sont fournis dans des petits sachets par les vendeurs de cigarettes électroniques, ce qui devrait vous délester d’un certain investissement durant des mois. Il en est de même pour le verre servant de stockage du e-liquide.

Encore plus d’économie avec les DIY

Si vous estimez que votre budget total pour la vape est encore trop élevé par rapport à vos moyens, sachez qu’il existe d’autres alternatives permettant de réduire au maximum votre investissement à travers la confection de e-liquides maisons !

Eh oui, le prix moyen d’un flacon de 10ml de e-liquide mentionné en amont résulte du coût de fabrication et du chiffre d'affaires des entreprises de la vape. Pour contourner ce cumul de coûts des matières premières et de la main d’œuvre pesant sur la valeur totale du e-liquide prêt à vapoter, vous pouvez acheter les ingrédients et composer votre e-liquide vous-même pour un prix très bas !

Sur le papier, le coût mensuel d’une formule DIY (Do It Yourself) pour gros vapoteur, composée d’une base de propylène glycol/glycérine végétale, de booster de nicotine, et d’arôme concentré peut être décrypté comme suit :

  • 500mL de base neutre PG/VG (80% du volume total) = 10 euros

  • 20 Boosters de nicotine 20mg/mL (10% du volume total) = 15 euros

  • 100mL d’arôme concentrés (10% du volume total) = 50 euros

Notez que les prix annoncés ici concernent les produits moyens de gamme. Aussi, ils peuvent sensiblement monter ou baisser suivant la qualité et la marque. Cependant, avec ce calcul basique, vous pouvez constater qu’une formule DIY pour gros fumeur/vapoteur n’excède pas les 150 euros mensuel, un budget à des années lumières des cigarettes traditionnelles !

La cigarette électronique est un dispositif portatif comportant une multitude de pièces électroniques et mécaniques. Au fur et à mesure de son exploitation, certains des éléments qui la composent s’exposent à des usures et doivent être remplacés à l’instar de la batterie, des joints d’étanchéité ou encore des résistances. Par ailleurs, les cigarettes électroniques peuvent être personnalisées par le vapoteur à travers de nouveaux accessoires tels que les drip-tip, les réservoirs et bien d’autres. Si vous cherchez les moyens d’optimiser la performance et l’efficacité de votre e-cig, voici donc la liste des pièces que vous pourrez acheter.

Les bagues en silicones

On retrouve des joints en silicones sur les cigarettes électroniques dotées de clearomiseurs. Ils sont généralement conçus en matières souples sous forme de bagues et assurent une parfaite étanchéité du réservoir. Lors de l’achat d’un kit, ou d’un clearomiseur seul, les fabricants procurent un sachet de joints de remplacement qu’on peut utiliser après quelques mois. A défaut, il sera toujours possible de se procurer ces bagues chez les revendeurs d’accessoires agréés pour une somme avoisinant les 2 à 10 euros (le prix varie suivant la qualité et le nombre de joints dans le pack).

Les résistances

Les résistances sont des pièces usables vouées à un remplacement périodique. Sur les clearomiseurs et atomiseurs de séries, ils peuvent durer de 7 à 10 jours (voire plus) avant de perdre totalement de leurs performances. Le mauvais état d’une résistance se jauge notamment par sa faible capacité à produire de la vapeur, ses rendus amères et goûts de brûlé.

Lorsque la résistance est usée, vous devez la remplacer par une neuve avec les mêmes spécifications. Sur les plateaux reconstructibles, les résistances sont fabriquées par les vapoteurs eux-mêmes. Aussi, l’investissement sera orienté vers les fils résistifs et les mèches.

Les drip-tip

Le drip-tip est l’embout buccal qui culmine sur chaque clearomiseur ou pod. Il est, dans la majorité des cas, séparé du top cap de l’atomiseur et peut être remplacé suivant les désirs du vapoteur. Attention ! Un drip-tip qui impacte grandement sur le rendu peut augmenter ou réduire la densité, la température et le volume d’une vapeur.

Pour remplacer un drip-tip, consultez en amont ses dimensions. On retrouve ainsi des diamètres fins de type 510 pour inhalation indirecte ou directe et large de type 810 pour inhalation directe. Son prix varie suivant les modèles, la qualité de la matière et la marque.

Pyrex

Vous sentez que votre consommation de e-liquide augmente chroniquement et constatez la faible capacité de votre réservoir à suivre le rythme ? Achetez un tout nouveau Pyrex (réservoir en verre) qui convient à votre appétit à travers la pléthore d’offres proposées par les grandes marques.

Actuellement, le marché regorge de contenances de capacité variable allant de 2ml jusqu’à 8ml. Pour obtenir les plus grosses cuves, optez pour les réservoirs dits « Bulles ». Ils sont formés en forme de cloche avec une tranche évasée permettant d'accueillir le maximum de e-liquide.

Les accus

L’accu est la batterie extractible placée dans les box électroniques et mécaniques. Ils sont fabriqués en série par des géants de l’électronique comme Samsung, Sony, LG, etc… et peuvent proposer des performances variées.

L’achat d’un nouvel accu doit ainsi répondre à un besoin d’optimisation d’autonomie (en mAh) et de capacité de décharge (en A). Plus ces valeurs seront élevées, plus votre e-cig tiendra longtemps et pourra exploiter les grosses puissances.

Les chargeurs d'accus

Le chargeur d’accu est indispensable pour tous les utilisateurs de cigarettes électroniques jouissant d’une box à batterie extractible. Avec un chargeur externe, vous aurez notamment l’occasion de recharger votre pièce à l’extérieur avec une vitesse largement plus élevée par rapport au port de charge (Micro USB/ USB C) standard. Vous améliorerez également la longévité de ces derniers.