Clearomizers / Cartomizers

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Le choix d’une cigarette électronique aux dépens de la cigarette traditionnelle vous ouvre les portes d’une hygiène de vie plus saine, mais aussi riche en divertissement. Outre la découverte de saveurs et les sensations procurées par les e-liquides, le vapotage vous permet notamment d’effectuer des « tricks » avec de la vapeur… beaucoup de vapeur ! Mais comment faire pour créer ces nuages denses ? Voici les bases !

Créer de la vapeur, une question de puissance

Le processus de création de la vapeur commence par la chauffe d’un e-liquide placé dans une pièce dénommée atomiseur. Celle-ci recèle une autre pièce électronique nommée résistance dont le rôle consiste à concentrer le flux électrique pour le transformer en énergie thermique, soit de la chaleur.

Pour espérer une bonne densité de vapeur, le courant qui traverse cette résistance doit être conséquent. Pour ce faire, il faudra réguler la puissance (en Watt) depuis la batterie.

Certaines cigarettes électroniques dotées d’un contrôle de puissance intégré (ou wattage variable) proposent une sélection de puissance allant de 1W à 200W (voire plus pour les modèles pro), ce qui permettra de booster la création de vapeur par une chauffe intense au niveau de la résistance.

Créer de la vapeur avec des résistances basses

Comme mentionné en amont, le flux d’électrons traversant la résistance est indispensable pour créer la chauffe d’un e-liquide et engendrer de la vapeur. Ceci étant, le réglage du wattage et la plage de puissance permise par le circuit intégré c'est pas le seul facteur à prendre en considération.

En effet, il faudra vous munir d’une résistance faible avec une valeur inférieure à 0.5 ohm. Pour expliquer ce phénomène, il faut comprendre la loi universelle d’ohm qui se résume à la formule U=RxI ou I=U/R (U étant le potentiel en volt, R la résistance en ohm et I l’intensité en W).

Cette formule met en relation la décharge de la batterie et l’intensité avec la résistance de sorte que cette dernière devienne le facteur principal de la puissance (I=U/R). En termes simples, en choisissant une résistance avec une valeur en ohm faible, l’intensité (I) sera plus grande et favorisera la réactivité lors de la vaporisation. Plus la valeur de la résistance sera basse, plus la puissance demandée sera élevée.

Créer de la vapeur avec une batterie supportant une décharge puissante

En utilisant une résistance faible, le circuit électronique de votre e-cig se montre plus permissif et autorise une décharge de courant importante suivant la loi d’Ohm citée plus haut. Dans cette perspective, de nombreux vapoteurs sont tentés d’installer des montages près de la résistance 0 pour laisser la batterie s’exprimer librement et créer beaucoup de vapeur, ce qui n’est pas conseillé !

Eh oui, toutes les batteries (ou accumulateurs) de cigarettes électroniques ne sont pas disposées à créer des décharges importantes. Chacune d’elles présente ainsi des limites dites CDM ou courant de décharge maximal à respecter pour éviter les accidents.

Si vous utilisez un box électronique régulé et une résistance de série, veillez à ce que la plage de puissance utilisée soit conforme à celle qui est mentionnée sur la résistance pour préserver la batterie (par exemple : 0,2 ohm 50W-70W).

Si vous utilisez plutôt une box mécanique et une résistance fait maison, faites en sorte que la puissance générée ne dépasse pas le CDM inscrit sur la batterie. Une maîtrise parfaite de la loi d’ohm et de ses impacts est primordiale avant d’effectuer ce genre d’expérience.

Créer de la vapeur avec un e-liquide riche en VG

En mettant de côté l’aspect électronique, vous pouvez également obtenir de beaux nuages denses avec une bonne configuration de e-liquide. Il faut savoir que tout liquide de vape est composé d’une base de propylène glycol (PG) responsable de la fidélisation des saveurs, et de glycérine végétale (VG) responsable de la création de vapeur. En choisissant un ratio PG/VG déséquilibré en faveur de la glycérine végétale (au-dessus des 70% par exemple), vous pourrez vous attendre à des déferlantes de vapeurs.

Dans une optique ergonomique, les constructeurs de clearomiseurs utilisent différents systèmes de remplissage pour épargner le vapoteur d’un exercice chronophage et usant. A travers des mécaniques d’ouverture simples, on retrouve ainsi des pièces à remplissage par le haut, par le bas, et par les côtés.

Les clearomiseurs à remplissage par le haut sont les plus répandus. Ceux-ci prévoient une petite fente protégée par un top cap (partie supérieure) qui permet d’atteindre le réservoir. Ce top cap peut glisser ou pivoter totalement pour une opération rapide et simplifiée.

Les clearomiseurs ou pods à remplissage latéraux, proposent pour leur part des fentes protégées par des opercules en caoutchouc sur les côtés. Lorsque le réservoir est vide, il suffit d’ôter la protection qui assure l’étanchéité et d’insérer l’embout du e-liquide.

Enfin, les clearomiseurs ou atomiseurs à remplissage par le bas nécessitent de dévisser complètement leur base (partie inférieure) pour atteindre le réservoir, ce qui est moins confortable pour les vapoteurs pressés !

Ne pas remplir depuis la cheminée centrale

Les primo-vapoteurs commettent régulièrement l’erreur de remplir le réservoir depuis le drip-tip ou la cheminée centrale, depuis laquelle la vapeur sort. En effet, cette cheminée est directement liée à la chambre de chauffe et la résistance, cependant elle ne permet pas d’accéder à la cuve destinée au e-liquide.

Si vous versez accidentellement du e-liquide dans le drip-tip, cela n'entraînera aucun dégât. Par contre, les risques d’immerger l’atomiseur sont grands en répétant cette action plusieurs fois. En conséquence, votre cigarette électronique a toutes les chances de créer des remontées de liquides, qu’on appelle les « Glouglous ». Croyez-nous sur parole, le goût d’un e-liquide est infect et piquant !

Ne pas remplir totalement le réservoir

Suivant les modèles de cigarettes électroniques, la capacité de stockage peut varier de 1ml jusqu'à 18ml. Quelle que soit la contenance de votre réservoir, évitez cependant de le remplir à ras bord pour éviter les risques de fuites.

Un réservoir trop plein peut créer une forte pression en changeant de température ou d’altitude (raison pour laquelle les réservoirs fuient lors des trajets en avion). Dans la pratique, le jus cherchera une sortie par tous les moyens et généralement, il la trouvera au niveau de l’airflow.

Le réservoir contient des mèches entièrement recouvertes d’e-liquide. Ces dernières assureront le transport par capillarité du liquide vers le fil résistif. Grâce à un bouton d’activation, la batterie produira de la chaleur qui influera sur le fil résistif et engendrera la vaporisation du e-liquide.

Par la suite, l‘e-liquide présent dans la résistance passera d’une forme liquide à une forme gazeuse de la même façon que l’eau qui bouillit dans une casserole. Force est de constater que le phénomène est le même que dans un clearomiseur. Une fois le stade de gaz atteint, la vapeur pénètre dans la cheminée avant d’arriver dans l’embout et dans la bouche du vapoteur. Ce cycle se répète inlassablement lorsque le vapoteur prend une inspiration.

À la longue, ce processus finit par épuiser la résistance qui devrait être changée, surtout si elle est mal entretenue.

Le clearomiseur Sub-ohm n’est autre qu’un clearomiseur fonctionnant avec une résistance inférieure à celui d’un clearomiseur classique. En effet, sa résistance est inférieure à 1 ohm. Toutefois, cette dernière doit être utilisée à une puissance élevée. Celle-ci avoisine les 40 à 200 W au maximum. En conséquence, ce type de clearomiseur peut générer un grand volume de vapeur et de très gros hit, même en l’absence de nicotine.

Le dispositif de vaporisation d’un clearomiseur Sub-ohm peut s’adapter pour permettre l’entrée d’une importante quantité d’e-liquide et ainsi, d’approvisionner continuellement la fibre. Cette dernière se situe généralement au niveau du fil résistif et contribue à éviter un arrière-gout de brulé.

L’usage d’un clearomiseur Sub-ohm nécessite l’utilisation d’e-liquide très fournis en glycérine végétale (soit plus de 60 %) et avec un taux de nicotine nettement inférieur à celui d’un clearomiseur classique.

Mise en garde 

La température de chauffe d’un clearomiseur Sub-ohm est beaucoup plus élevée que celle d’un clearomiseur standard. Par conséquent, la consommation d’e-liquide sera accélérée.

Précaution d’utilisation 

Les clearomiseur Sub-ohm ne sont pas compatibles avec toutes les cigarettes électroniques. Pour être sûr d’avoir le matériel adéquat, il faut impérativement s’assurer que celui-ci est apte à résister à une décharge continue de 8,5 ampères au minimum.

Pour cela, il est préférable de se servir de mods mécaniques accompagnés d’accus adaptés. Ces derniers doivent être en mesure de supporter plus de 20 ampères. Le cas échéant, il est aussi possible d’utiliser des mods électriques conçus pour les résistances basses.

Il est également important de garder à l’esprit qu’un usage inadapté d’un clearomiseur en sub-ohm peut causer des dommages importants au matériel. Sur le long terme, cela pourrait même affecter les performances de sa cigarette électronique ou la rendre inutilisable.

Le clearomiseur représente la partie supérieure d’une cigarette électronique. Ce dernier est considéré comme la pièce la plus importante d’une e cigarette. En effet, à lui seul, le clearomiseur assure la qualité du vapotage, car il contient l’e-liquide et s’occupe de le transformer en vapeur. De plus, si le clearomiseur est endommagé ou défectueux, les performances de la cigarette électronique peuvent en être affectées.

D’une façon générale, le clearomiseur d’e-cigarette se compose :

  • D’un embout, également appelé « drip tip ». C’est la partie qui entrera en contact avec la bouche du vapoteur. Le confort de la vape et la température de la vapeur produite dépendront de sa forme et de sa texture.

  • D’un réservoir : qui a pour mission de contenir le e-liquide. La plupart du temps, celui-ci est transparent et étanche. Sa contenance peut aller jusqu’à 10 ml.

  • D’une résistance : qui porte l’e-liquide à ébullition pour le transformer en vapeur. Elle est dotée d’une mèche en silice, de coton organique et de fil résistif. Sensible à l’usure, ce dernier doit être changé régulièrement.

  • D’une cheminée : ce canal permet à la vapeur d’atteindre le drip tip, et donc la bouche du vapoteur, lors d’une inspiration.

  • D’une base : qui sert de passerelle entre le clearomiseur et la batterie de la cigarette électronique. Selon les modèles, elle peut être équipée d’une bague de réglage d’entrée d’air ou airflow.

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