Reconstructable Atomizers

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Les adeptes de la vape connaissent tous à un moment ou à un autre des problèmes de fuites avec leur atomiseur. Pourtant, ces désagréments peuvent disparaître aussi vite qu’ils sont apparus. Afin de vous épargner des moments d’énervement lorsque les fuites sont là, cet article vous donne des conseils appréciables selon l’origine et la cause du problème.

Un souci avec la quantité du coton

Lors du montage du coil, si l’étape n’a pas été bien respectée ou si le coton est mal appliqué, alors votre atomiseur fuit par l’airflow. Dans ce cas, vous devez vérifier l’emplacement du coton et porter une grande attention sur la quantité utilisée, voir si elle est suffisante ou non. Attention toutefois à ne pas trop en mettre non plus, sinon dry hit garantit ! Si l’atomiseur est en manque de coton, il ne pourra pas emprisonner correctement le liquide et aura tendance à le laisser fuir par les airflows. Vous aurez donc comme tâche de rajouter du coton en quantité suffisante.

Un montage plus ou moins raté

L’autre raison qui amènerait votre atomiseur à fuiter serait l’oubli d’une pièce lors du montage de celui-ci. Aussi invraisemblable que cela puisse paraître, c’est un incident qui peut survenir et plus souvent qu’on ne le pense. En effet, cela peut arriver après le remontage des pièces une fois que vous avez procédé au lavage, il est probable qu’un joint se soit perdu par inadvertance. Dans tous les cas, si l’atomiseur est incomplet, cela va se savoir plus vite que vous ne le pensez.

Un problème avec le remplissage

Si tout a été vérifié et que la fuite persiste, alors cela ne peut venir que du remplissage. D’une manière générale, cela se produit lorsque le système que votre atomiseur possède nécessite un remplissage par le haut. En effet, vous devez d’abord bien resserrer l’airflow avant d’injecter le liquide sinon il s’échappera. Après tous ces conseils, vous avez dorénavant la solution pour remédier aux fuites de votre atomiseur, bonne vape !

C’est un véritable casse-tête. De nombreux vétérans de la vape préfèrent les spires espacées, alors que d’autres affectionnent particulièrement les spires serrées. À travers les années, ces deux parties se sont livrées dans une bataille acharnée dans le but de voir émerger leur montage de prédilection. Dans ce petit comparatif, nous nous focaliserons sur le montage des atomiseurs reconstructibles. Découvrons ce qui différencie les spires serrées des spires espacées avec les avantages et les inconvénients de l’une et de l’autre.

Les spires serrées

La plupart des vapoteurs ont adopté les spires serrées. Ce choix s’est imposé comme un réflexe naturel autant pour la simplicité d’utilisation que le rendu qu’offre ce type de montage.

Pour effectuer ce genre de coil, un gabarit standard sera amplement suffisant. Toutefois, les plus exigeants pourront se tourner vers un outil plus spécialisé comme le Coil Master V4. Il vous suffira d’enrouler le fil résistif autour de la tige en vous assurant que le tout soit bien serré.

Une fois que ce sera fait, vous procéderez au montage de votre coil sur le deck de votre dripper ou de votre tank, puis vous ferez rougir votre résistance et éliminer tous les points chauds.

La vitesse d’exécution de ce montage est sans doute le principal critère qui a su séduire de nombreux vapoteurs. Mais d’un autre côté, ces derniers sont également sidérés par la qualité des saveurs ainsi que l’incroyable quantité de vapeur produite par la cigarette.

Vous devez aussi savoir que les spires serrées permettent une mise en place du coton beaucoup plus simple. De plus, lorsqu’ils sont serrés convenablement, les spires offrent un coil plus ou moins rigide qui ne changera pas de forme au contact du coton. Ce n’est pas rien !

Les spires espacées

Les spires espacées sont idolâtrées par de nombreux vapoteurs qui vantent le rendu sensationnel des saveurs de leur liquide. À l’inverse des croyances populaires, les spires espacées ne sont pas plus difficiles à monter que les coils standards. Il faudra sans doute être très patient et minutieux dans ses gestes et ses mouvements, mais sinon, ce n’est rien de bien méchant.

Pour mettre en place leurs résistances, certains vapoteurs optent pour des solutions pratiques comme l’utilisation d’une vis. Grâce à ses filetages, elle favorise un enfilage serein du coil tout en respectant un espace régulier entre les spires.

Une autre catégorie de vapoteurs se contente d’un gabarit standard. Dès que le coil sera enroulé, vous pourrez le détendre rien qu’en tirant sur ses extrémités. Bien que le résultat ne soit pas aussi parfait qu’avec une vis, il faut avouer que le rendu final est largement satisfaisant pour garantir une séance de vape savoureuse et succulente.

C’est sans aucun doute un atout majeur que les vapoteurs en herbe n’ont pas manqué de l’acclamer : il n’a plus besoin de faire rougir le coil ! Étant donné que les spires sont espacées, ce n’est plus nécessaire de chauffer le coil pour éliminer les points chauds à l’instar des coils aux spires serrées. Même si le gain de temps est moindre, cela vous évitera diverses manipulations parfois trop encombrantes et aussi peu appréciées des autres vapoteurs.

L’heure de vérité ne va pas tarder à sonner. Au moment de placer le coton, vous allez devoir faire preuve de beaucoup de minutie pour ne pas risquer de déformer votre coil. Ne vous précipitez pas et n’hésitez surtout pas à employer de généreuses quantités de coton pour vous prévenir des projections au moment de l’utilisation. Bon nombre de vapoteurs ont mis les spires espacées de côté à cause des projections liquides. Avec une dose appropriée de coton, vous oublierez vos spires serrées.

La balle est dans votre camp !

Il n’existe pas de bonnes ou de mauvaises manières de monter votre coil. Les spires serrées ont été conçues pour les vapoteurs qui préfèrent une réalisation facile combinée à un rendu parfait des saveurs.

Les spires espacées seront, quant à elles, totalement adaptées aux fumeurs de cigarettes électroniques plus pointilleux sur la restitution des saveurs et qui considèrent le montage d’un atomiseur reconstructible comme un jeu d’enfant.

Contrairement à des e-liquides ou à des arômes concentrés DIY, vous serez amené à utiliser les deux options pour déterminer laquelle répond le mieux à vos besoins !

Une fois plongé dans l’expérience de la cigarette électronique, vous vous rendez compte que non seulement la vape délivre d’autres addictions, mais procure également du plaisir.

Quand celle-ci devient alors une activité régulière, le fumeur se rend compte qu’il doit changer de résistance tous les deux à trois semaines. Une idée peut alors vous venir en tête : est-ce que vous pouvez créer votre propre résistance pour cigarette électronique ? La réponse est oui, suivez ces quelques instructions.

Le matériel nécessaire pour réaliser le coil

Dans la plupart des cas, la réalisation du coil empêche tout fumeur débutant en e-cigarette de faire sa propre résistance. La clé se trouve dans le bon équipement.

D’abord, le premier outil dont vous devez disposer est un fil résistif. Il peut être du Ni80 ou bien du SS316L ou même du Kanthal, ensuite il faut se procurer du coton — qui peut être remplacé par de la fibre de silice, d’un gabarit pour effectuer les spires, d’une clef Allen ou bien d’un tournevis, d’une pince coupante, d’une pince en céramique et enfin d’un ohmmètre ou une box électronique pour jauger la valeur du coil.

Une fois ces matériels à votre disposition, posez le tout sur un plan de travail propre et pratique pour vous faciliter la tâche à suivre.

La préparation de la résistance

La première étape est la coupe du fil. N’hésitez pas à utiliser une longueur assez importante pour simplifier votre travail. Cette recommandation générale est à prendre en compte pour tout débutant qui veut créer sa propre résistance.

La seconde étape est de se saisir du gabarit et d’entourer le fil tout autour de façon régulière pour réaliser les spires. Cette action nécessite de la force et de la fermeté pendant le tirage du fil afin de s’assurer qu’il affleure bien le gabarit. De cette façon, la résistance sera uniforme. Cette étape semble assez simple, mais ne vous inquiétez pas si vous n’y arrivez pas du premier coup. L’opération étant en fait complexe, recommencez jusqu’à ce que vous atteignez un résultat satisfaisant. Par ailleurs, la quantité de fil a un impact sur la valeur du coil : plus le gabarit est gros, plus les spires sont nombreuses et plus la valeur du coil est élevée.

La fixation du coil

Dès que le coil est terminé, la prochaine étape est son installation sur le plateau de montage. Pour ce faire, vous devez intégrer les pattes dans les plots et serrer ensuite les fixations avec un tournevis ou une clef Allen. Toutefois, ne mettez pas trop de zèle dans le serrage : le fil est assez fragile et il faut veiller à ne pas le sectionner.

Après, si le coil ne se révèle pas très uniforme, employez le gabarit pour le placer correctement.

Passée l’installation du coil, il est temps de couper l’excédent de fil au ras des plots avec une pince coupante. La même procédure est la même que pour la réalisation d’un double coil. La coupe doit être précise et juste, car un fil qui dépasse peut entraîner un court-circuit en touchant la cloche d’atomisation. L’opération sera peut-être difficile, mais vous pouvez y parvenir avec de la persévérance.

La stabilisation du coil

Certes l’installation du coil terminée, passer à la prochaine procédure qui est la stabilisation. Il s’agit d’une étape fondamentale dans la réalisation de la résistance, car celle-ci garantit l’homogénéité de la chauffe du coil.

C’est ici que l’ohmmètre ou la box électronique entre en jeu. Il est indispensable de bien stabiliser et sécuriser le mod mécanique pour éviter un court-circuit.

Vous pouvez maintenant chauffer le coil jusqu’à ce qu’il rougisse de manière uniforme. Si ce n’est pas le cas, vous pouvez vous servir d’une pince céramique pour resserrer les spires. Mais vous pouvez aussi gratter le dessus du coil jusqu’à obtention de l’effet escompté.

La dernière étape : la pose du coton

Quand vous êtes satisfait de la stabilisation du coil ainsi que de l’uniformité de sa chauffe, la dernière étape est la mise en place du coton.

Il n’est pas trop évident de savoir si la quantité de coton à prendre est suffisante ou non. Quelques signes peuvent néanmoins vous indiquer que vous êtes dans le droit chemin : le coton doit coulisser dans le coil tout en montrant une certaine résistance.

S’il remue un peu trop, cela veut dire qu’il n’y en a pas assez et vous risqueriez d’avoir des fuites. Par contre, s’il est beaucoup trop serré, c’est qu’il y en a trop et vous serez exposé aux dry hits durant l’inhalation.

Désormais, il ne vous reste plus qu’à imbiber le coil de quelques gouttes de liquide et à remplir la cuve du dripper.

Le premier montage de sa propre résistance de cigarette électronique prend toujours du temps et de la concentration, mais une fois habitué, les opérations vous paraîtront plus faciles au fur et à mesure de chaque changement de résistance. Maintenant que c’est prêt, vous pouvez passer à une session de vape satisfaisante faite maison.

UNE GRANDE CATÉGORIE D’ATOMISEUR

Vous aimeriez élargir vos horizons et découvrir de nouvelles sensations ? Ne cherchez plus, nous avons les réponses à vos questions ! Tout bon vapoteur qui se respecte a sûrement déjà eu un clearomiseur entre les mains. Simple, efficace et durable, le clearomiseur a simplifié la vie de bien du monde. Avec le temps, vous avez commencé à vous intéresser aux reconstructibles. En effet, faire ses propres montages permet d’atteindre une vape plus personnelle ? Mais également plus précise, car vous aurez le contrôle sur la configuration. Bien que cela nécessite tout un processus complexe, le monde du reconstructible offre des avantages au-delà de nos espérances.

C’est toute une grande variété de reconstructibles que regroupe le ReBuildable Atomizer plus communément appelé RBA. Accrochez-vous bien, car il est maintenant temps de passer aux choses complexes !

LES RDA

Il existe plusieurs types d’atomiseurs reconstructibles. Le RDA ou Rebuildable Dripper Atomizer que l’on raccourcit par dripper est un atomiseur sans réservoir. Vous avez bien lu ! Pour pouvoir vaper, vous devrez verser au fur et à mesure quelques gouttes de votre e-liquide sur la mèche en coton de votre dripper. En verser régulièrement sur la résistance est nécessaire pour éviter un dry hit. Cela paraît ennuyeux, mais ce type d’atomiseur permet de produire une quantité importante de nuages. Les saveurs sont également fidélisées à la perfection. Si au départ, les drippers furent utilisés pour les tests de DIY, aujourd’hui, ces atomiseurs assez sommaires font partie des atomiseurs reconstructibles les plus prisés.

LES RTA

Les RTA ou Rebuildable Tank Atomizer sont des atomiseurs reconstructibles avec des réservoirs en pyrex assez imposants. Ce type d’atomiseur permet de faire ses résistances soi-même puisqu’il est équipé d’un plateau de montage situé sous le réservoir. Avec les RTA, les saveurs sont parfaitement restituées et l’autonomie est excellente. Il est cependant crucial de bien veiller à ce que le montage soit bien réalisé et que le coton utilisé soit en quantité suffisante.

LES RDTA

Les débats s'enchaînent souvent entre les drippers et les tanks bien qu’ils soient l’un comme l’autre efficace. Pour ceux qui souhaitent passer neutres, il existe une dernière catégorie d’atomiseur reconstructible qui devrait susciter leurs intérêts. Les RDTA ou Rebuildable Dripping Tank Atomizer ont l’avantage d’allier les avantages des RDA et des RTA. Autrement dit, c’est un dripper accompagné d’un réservoir. Ce qui donne une certaine spécificité à ce matériel c’est que sa résistance se trouve au-dessus du tank. L’e-liquide remontera alors pour alimenter le coton et délivrer d’excellentes saveurs.

Les RDA, les RTA ainsi que les RDTA ouvrent des horizons qui s’étendent à l’infinie. Simple coil ou double coils ? peu importe ! Les types de tirage sont également pris en compte. Qu’ils soient destinés aux tirages restrictifs ou aériens, les reconstructibles offrent à leurs utilisateurs une variété infinie de choix. Mais peut-être préférez-vous rester dans votre bulle de confort et ainsi choisir la sécurité ? Il ne tient qu’à vous de tenter l’expérience ou non !

UN CHOIX COMPLIQUÉ

Vous avez enfin trouvé un atomiseur idéal pour vous. L’étape la plus difficile étant passée, il vous reste néanmoins un dernier choix à faire. Vous devez donc choisir entre un simple ou un double coil. Pas de quoi s’affoler ! Cette est cruciale, mais n’est pas difficile pour autant.

Il existe des atomiseurs reconstructibles qui n’acceptent que les configurations à simple coil. Et évidemment, il en existe d’autres qui sont montés à double coil. Si vous êtes confrontés à ces reconstructibles, vous devrez tout simplement suivre les conseils du fabricant, il n’y a donc aucun choix à faire. Cependant, beaucoup d’autres atomiseurs autorisent les deux types de configuration. C’est là que vient le dilemme.

LE SIMPLE COIL

Plusieurs avantages s’offrent à vous si vous optez pour une configuration à simple coil. Puisque vous n’aurez qu’une seule résistance à manipuler, monter le coil sera un jeu d’enfant. C’est d’ailleurs parfait pour les débutants dans le domaine et pour ceux qui ne veulent prendre aucun risque. Un autre avantage est que le montage avec un seul coil est amené à consommer moins de liquide, car il fonctionne avec une très basse puissance, et donc, vous permettra d’économiser également quelques pourcentages de batterie en plus ! Votre atomiseur en bénéficiera aussi, car la faible puissance générée brûlera moins qu’avec un montage à double coil. De quoi protéger vos lèvres des brûlures.

Ainsi, un simple coil a bien des avantages mais en contrepartie, la production de vapeur sera évidemment faible. N’espérez donc pas produire des vapeurs denses avec cette configuration. Le temps de chauffe proposé par la configuration à simple coil sera également plus long que celui avec deux coils.

En résumé, si vous recherchez dans vos atomiseurs une excellente restitution de saveurs et que vous ne voulez pas consommer trop d’e-liquide, le simple coil est pour vous !

LE DOUBLE COIL

Si vous êtes un cloud chaser confirmé, le double coil sera indubitablement la meilleure option pour vous ! Vous devrez par ailleurs être beaucoup plus attentif. Vous serez amené avant tout à vous procurer deux résistances totalement identiques et avec les mêmes valeurs ohm.

Il est maintenant temps de passer à l’installation. Positionner le double coil est une étape difficile. En effet, couper les pattes des coils à la bonne longueur est primordial pour éviter un court-circuit. Une fois les coils parfaitement fixés, le plus dur est encore à faire ! Il vous faudra passer à la stabilisation. Une chauffe homogène des deux coils est une étape importante pour vous assurer une bonne vape. Ainsi, les deux coils doivent rougir simultanément de façon uniforme pour éliminer les risques de dry hit.

Le plus dur est enfin terminé. Vous pouvez maintenant insérer la mèche de coton et verser votre e-liquide. À votre grande surprise, vous obtiendrez une vapeur généreuse épaisse et le temps de chauffe est également plus court grâce aux deux coils qui véhiculent la chaleur à grande vitesse. Mais il y a toujours une contrepartie ! Qui dit vapeur dense dit grosse consommation. Contrairement à un montage à simple coil, le montage à double coil consommera plus vite l’e-liquide, mais également l’énergie de votre batterie. Veillez donc à vous réapprovisionner régulièrement en liquide.

LA PARTIE MATHÉMATIQUE

Un dernier point important à prendre en compte est que le double coil aura une valeur ohm inférieure à celle d’un simple coil. En effet, en combinant deux coils, leurs valeurs ohm ne s’additionnent pas. Par exemple, avec deux coils à 1 ohm, vous obtiendrez une valeur approximative de 0.5 ohm. Il faut donc diviser la valeur initiale par deux pour connaître la valeur en ohm de votre configuration à double coil.

Vous maîtrisez enfin les b.a.-ba du simple coil et du double coil. Il ne tient plus qu’à vous de choisir le montage qui vous convient le mieux. Si vous faites partie des débutants qui veulent s’essayer aux reconstructibles, nous vous recommandons fortement d’opter pour le simple coil. C’est un bon moyen pour se familiariser avec les coils et de se préparer pour les montages beaucoup plus complexes car, sachez que même les quadruples coils existent.

Les adeptes de la vape connaissent tous à un moment ou à un autre des problèmes de fuites avec leur atomiseur. Pourtant, ces désagréments peuvent disparaître aussi vite qu’ils sont apparus. Afin de vous épargner des moments d’énervement lorsque les fuites sont là, cet article vous donne des conseils appréciables selon l’origine et la cause du problème.

Un souci avec la quantité du coton

Lors du montage du coil, si l’étape n’a pas été bien respectée ou si le coton est mal appliqué, alors votre atomiseur fuit par l’airflow. Dans ce cas, vous devez vérifier l’emplacement du coton et porter une grande attention sur la quantité utilisée, voir si elle est suffisante ou non. Attention toutefois à ne pas trop en mettre non plus, sinon dry hit garantit !

Si l’atomiseur est en manque de coton, il ne pourra pas emprisonner correctement le liquide et aura tendance à le laisser fuir par les airflows. Vous aurez donc comme tâche de rajouter du coton en quantité suffisante.

Un montage plus ou moins raté

L’autre raison qui amènerait votre atomiseur à fuiter serait l’oubli d’une pièce lors du montage de celui-ci. Aussi invraisemblable que cela puisse paraître, c’est un incident qui peut survenir et plus souvent qu’on ne le pense. En effet, cela peut arriver après le remontage des pièces une fois que vous avez procédé au lavage, il est probable qu’un joint se soit perdu par inadvertance. Dans tous les cas, si l’atomiseur est incomplet, cela va se savoir plus vite que vous ne le pensez.

Un problème avec le remplissage

Si tout a été vérifié et que la fuite persiste, alors cela ne peut venir que du remplissage. D’une manière générale, cela se produit lorsque le système que votre atomiseur nécessite un remplissage par le haut. En effet, vous devez d’abord bien fermer l’airflow avant d’injecter le liquide sinon il s’échappera. Après tous ces conseils, vous avez dorénavant la solution pour remédier aux fuites de votre atomiseur, bonne vape !